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Hwang Seiichi - I'm defying gravity

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Hwang Seiichi - I'm defying gravity Ven 15 Mai - 15:03

Hwang Seichii

Can you hear my heart ?

nationalité: Japonais
âge : 28 ans
maison : Fidèle à sa maison, il est et restera toujours Poufsouffle.
nature du sang : Sang-mêlé même s'il ne connaît pas le moldu qui est son père.
spécialité : Il est professeur de métamorphose, il excelle d'ailleurs dans ce domaine, et est directeur de la maison Poufsouffle.
orientation sexuelle : Hétérosexuel
animal de compagnie: Il possède un fléreur qu'il surnomme Soowa
baguette : Acajou, Épine de monstre du Fleuve Blanc, 31cm et flexible.

Calme  + Réfléchi + Compréhensif + Modeste + Malade + Distant + Simple + Contrôle toutes ses émotions + Faible + Secret

Un rien satisfait Seiichi et le rend heureux, il a appris à vivre toute sa vie de cette façon pour ne pas en être déçu ou avoir des regrets + Depuis ses 5 ans, il souffre d’une insuffisance cardiaque qui n’a fait que s’aggraver d’années en années + Il vit chaque jour comme si c’était le dernier mais se refuse toute relation proche pour ne pas faire souffrir ceux qui pourraient l’entourer + Jeune, il avait de nombreux rêves mais il a tiré un trait dessus depuis son hospitalisation + Il vit dans le déguisement d’un homme en pleine santé alors qu’il souffre et que son morale n’est pas toujours au plus haut + Il garde sa maladie comme un secret et personne n’est au courant à Poudlard si ce n’est le directeur + Il est végétarien, mange très peu d’aliment salés et se refuse tout accès à l’alcool + Il est très stricte sur sa propre façon de vivre pour survivre le plus longtemps possible + Il a été obèse pendant son adolescence et ça le pousse à faire encore plus attention + Il mange très peu et ne boit pas beaucoup + Il fait de la natation –surveillé de très près par des médecins- mais son corps reste très peu musclé + Il aime voyager et pendant des années, il n’a fait que ça + Il ne touche jamais à tout ce qui est cigarettes et ce qui nuit à la santé + Il a une hygiène parfaite, jusqu’au bout des ongles + Malgré son physique rachitique, il a un charisme et une diction parfaite qui font qu’il capte très bien l’attention de ses élèves. Sa passion pour la métamorphose aide également à rendre son cours intéressant. + Ses dépenses pendant ses voyages font qu’il est bien plus limité financièrement + Du côté vestimentaire, il aime être à l’aise et porte donc rarement des costumes. On le voit plus souvent en t-shirt ou en pulls en laine. + Il aime lire, une activité qui le fait voyager sans qu’il ne se mette en danger + Il adore également créer, une passion qu’il garde également la secrète. Il entend par créer tout bricolage possible que ce soit peinture ou origami, il transforme souvent sa chambre en atelier d’artiste, ses œuvres sont ses états d’âmes.
Moi c'est Leïla Hwang Seiichi - I'm defying gravity 3407675658 J'ai 20 ans et je DC  Hwang Seiichi - I'm defying gravity 2324711598
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Re: Hwang Seiichi - I'm defying gravity Ven 15 Mai - 15:04

Histoire

Carpe Diem

"Le passé m'oblige, le présent me guérit et je me fous de l'avenir."
Sylvain Tesson

Une vie a mille façons de commencer, comme un premier coup de pinceau sur une toile. C’est impossible de faire exactement deux fois le même trait et c’est ce qui fait que chaque être humain est une œuvre d’art à lui seul. On ne peut nier l’évidence de notre société : certaines œuvres d’art valent des millions quand d’autres peinent à être vendues ne serait-ce que pour un euro. Je faisais partie de la première catégorie en préférant pourtant de loin la deuxième. N’est-ce pas au plus pauvre de nous-mêmes que l’on trouve notre plus grande richesse ?

Quoi qu’il en soit, le coup de pinceau qui a débuté ma vie était d’un rose semblable aux cerisiers japonais en fleurs puisque je suis né au milieu du printemps, un 2 mai. Il n’y eut qu’une paire de bras pour m’accueillir, pas de père pour soutenir une femme épuisée par l’accouchement ou pour m’offrir la chance d’avoir des frères et sœurs. J’ai été élevé par une mère brisée et abandonnée parce qu’elle n’était pas « comme les autres ». Elle n’eut pas de problème pour me prendre en charge seule puisque la richesse était caractéristique de sa famille.

J’ai grandi dans le luxe sans pour autant l’apprécier. Ma mère m’a appris bien des choses sur la vie, sur la pression sociale et le regard des autres. Je me devais de suivre les règles, de mépriser les pauvres, d’apprécier les plus riches, d’être intelligent et beau. J’allais devenir un grand sorcier, comme mes ancêtres avant moi et mon avenir était tout tracé avant que je n’apprenne à parler. Mais la vie n’en fait qu’à sa tête et le karma de toute une famille vivant dans la complaisance s’est abattu sur un enfant qui n’avait que 5 ans quand il a été condamné.

1er séjour à l’hôpital : 2 mois. Je ne m’en rappelle même pas, les souvenirs du diagnostic sont si flous, il n’y a que l’étreinte de ma mère en larmes qui me revient à l’esprit. Je n’avais pas le cancer, pas de maladie assez courte pour m’éviter de souffrir pendant toute une vie : j’avais écopé de la peine à perpétuité. Une insuffisance cardiaque minime à l’époque mais qui promettait de me pourrir la vie jusqu’à ce que je cesse de me battre. Les règles dans lesquelles je vivais se firent plus strictes, m’apprenant à faire attention à ce que je mangeais, buvais, et ce constamment.

J’avais besoin de liberté, j’avais besoin de vivre vraiment quitte à en mourir. Cette pensée s’est attachée à moi au début de mon adolescence. 7 ans déjà depuis mon premier séjour à l’hôpital et je ne vivais pas, c’était comme si j’étais déjà mort puisque ma santé et mon avenir était condamné. Je voulais fuir, prendre des risques, connaître ce que c’est d’être passionné. J’avais dû quitter ma mère à l’âge de 11 ans pour rejoindre Poudlard et vivre en Angleterre, seul et loin mais toujours surveillé de près. J’ai profité pourtant, je me disais sorti d’affaire parce qu’on ne me rappelait plus constamment mon insuffisance. Je pensais à l’époque que la liberté se contentait de pouvoir manger et boire comme je l’entendais et faire des expériences comme la cigarette.

2ème séjour à l’hôpital : 6 mois. J’avais 15 ans quand la bombe à retardement avec laquelle je m’amusais de puis 3-4 ans à exploser. J’avais pris du poids, beaucoup de poids, et mon cœur me faisait atrocement mal, constamment mais je me pensais heureux, quitte à en mourir. J’étais un adolescent peu réfléchi et je pensais que mon malheur venait de ma maladie. Mon cœur m’a fait payer ma stupidité et j’ai dû me reprendre par peur. C’est celle-ci qui m’a remis sur la bonne route : la crainte de mourir sans avoir connu ce qu’est vraiment le bonheur. Ma mère, paniquée, m’a fait entrer dans l’école des sorciers de Séoul pour que je sois plus proche d’elle et j’ai enfin découvert la passion.

Je n’avais plus d’amis, j’étais toujours en surpoids et affaibli par mon passage à l’hôpital mais j’ai tout de même pu recommencer l’école. À Séoul, je me suis découvert un talent en suivant pour la première fois avec un réel intérêt un cours de métamorphose. J’avais un don pour cette passion et j’excellais dans celle-ci bien plus que dans les cours qui me conduisaient droit vers un avenir au ministère de la magie. N’est-ce donc pas ça la véritable liberté ? C’est cette question qui m’est venue à l’esprit à cet âge-là. Je ne pouvais rien faire pour vaincre définitivement la faiblesse de mon cœur, je ne pouvais que me battre pour continuer à vivre. Mais vivre pour quoi ? J’étais malheureux mais pas à cause de la mort qui planait autour de moi : je mourais mentalement parce que chaque vie est précieuse et ne devrait pas être gâchée par les attentes de mes proches.

J’ai cessé d’accepter mon sort et me suis rebellé pour la première fois non pas contre mon corps mais contre la société dans laquelle ma mère m’avait appris à vivre. J’ai refusé poliment le sort qui me forçait à devenir ministre pour me tourner vers ce qui me rendait profondément heureux. Toute la famille s’est insurgée contre moi, grands-parents, oncles, tantes, tous ont cessés de compatir pour montrer leurs vrais visages. Seule ma mère a accepté mes nouvelles envies, elle avait si peur de me perdre qu’elle acceptait le moindre de mes états d’âmes avec une compréhension sans limite. J’ai pu comprendre que, comme moi, elle détestait ce que la société l’avait forcée à devenir mais elle ne pouvait plus s’en échapper.

Après mes études, j’ai décidé de voir le monde, de le découvrir de fond en comble pour voir ce qu’il a de plus beaux à offrir sous ses métropoles polluées. J’avais un diplôme mais ne travaillais pas, si je devais mourir, je préférais vivre vraiment plutôt que dépérir pour de l’argent. Certes, je n’aurais pas pu voyager autant sans ce même argent mais je l’utilisais à des fins plus nobles que m’offrir la plus grande maison du quartier. Si j’ai appris quelque chose pendant mon voyage, c’est que les plus pauvres sont la meilleure compagnie qu’on puisse avoir et qu’ils sont heureux pour un rien.

Quand ma mère est partie, j’avais 26 ans et j’étais dans un petit village au sud de l’Afrique. D’une seconde à l’autre, je suis devenu semblable à ceux qui m’entouraient de leurs sourires. Déshérité à la seconde où ma mère a poussé son dernier souffle, je ne me suis senti que plus libre maintenant que je n’avais plus tout cet argent que je ne méritais pas. Je pourrais être vu comme cruel, ma mère est morte et je ne me dis pas brisé par cet événement. Je savais qu’elle n’était pas loin de moi, que malgré la mort qui n’est qu’une étape nécessaire de la vie, ma mère ne s’est pas une seconde éloignée de moi. Quand on est si proche de mourir, on apprend enfin que ce n’est pas si grave, qu’il y a bien pire que la mort : c’est la vie vécue sans passion.

J’ai arrêté mon voyage au départ de ma mère et ai décidé de suivre une passion que j’avais mise de côté pour voyager : la métamorphose. J’ai rejoint l’école qui avait fait naître en moi cette étincelle et y suit devenu professeur. Mon travail me rend heureux, pas une seule fois, je ne me réveille avec comme seule motivation celle de l’argent. Je sais que je ne resterais pas à ce poste toute ma vie parce que celle-ci pourrait s’achever d’une année à l’autre mais je vis au jour le jour sans penser à un sombre ou inexistant. Mon cœur me fait souffrir et je dois toujours « faire attention » mais mon âme repose déjà en paix et je ne regrette rien.
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Re: Hwang Seiichi - I'm defying gravity Ven 15 Mai - 21:33

Bravo pour ton Dc ! Hwang Seiichi - I'm defying gravity 764488455
Hâte d'en savoir un plus sur Seiichi ! Hwang Seiichi - I'm defying gravity 1477835418  Bon courage pour ta fiche ! Hwang Seiichi - I'm defying gravity 1326857459
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Re: Hwang Seiichi - I'm defying gravity Sam 16 Mai - 10:29

Welcome back ac ce gizllslfelzlld professeur ! **
Réserve moi des liens iensoflzllfdl hâte d en savoir plus sur ce sexy mr gkdkslsk
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Re: Hwang Seiichi - I'm defying gravity Sam 16 Mai - 20:56

Bienvenue de nouveau, je suis contente de voir la faiblesse en toi avec cet homme ô combien parfait ! Des liens nous attendent, c'est obligatoire ! Alors prépares-toi ! Hwang Seiichi - I'm defying gravity 3202596952

Et je t'ajoute de suite tes petites particularités demandées à la boutique, ma belle Hwang Seiichi - I'm defying gravity 1326857459
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Re: Hwang Seiichi - I'm defying gravity Ven 22 Mai - 11:54

Merci beaucoup pour vos messages de (re)bienvenue Hwang Seiichi - I'm defying gravity 1326857459 Hwang Seiichi - I'm defying gravity 1326857459
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Re: Hwang Seiichi - I'm defying gravity Ven 22 Mai - 21:59

Personnel !

Bienvenue chez toi

Félicitations pour ton embauche en tant que personnel! Maintenant que tu as rejoint les rangs de Poudlard, nous t'invitons tout d'abord à aller recenser ta face par afin qu'on ne puisse pas se faire passer pour toi avec du polynectar ! On te conseille après ça d'aller créer ta fiche de liens pour te faire des potes et ta fiche de rp histoire qu'on puisse garder un oeil sur toi !
On t'encourage aussi à visiter la chatbox ou rejoindre notre discord pour qu'on puisse te souhaiter la bienvenue plus chaleureusement !
Amuse-toi bien sur Firebolt !

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Re: Hwang Seiichi - I'm defying gravity

Hwang Seiichi - I'm defying gravity
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